On a beau être voisins, Greg et moi, ça n’a pas été facile de le rencontrer pour l’interviewer. Entre son emploi du temps chargé et la grippe qui l’a terrassé récemment, nous sommes finalement parvenus à nous retrouver au Sirha, le prestigieux salon de la restauration et de l’hôtellerie qui se tient tous les 2 ans à Lyon.
Ce qui marque quand on rencontre Grégory Cuilleron, star montante du monde culinaire français, c’est d’abord cette impression de le connaître sans l’avoir jamais rencontré. Une impression partagée par tous si l’on en juge par sa popularité ! Car interviewer Greg dans un lieu public (qui plus est, un lieu axé sur la gastronomie) et sur un stand très fréquenté (celui de Masse, la « maison du Foie Gras), c’est être interrompus sans arrêt, qui pour une photo, qui pour un autographe, qui par un « Ma femme est amoureuse de vous ». Je me savais fan de Greg, mais je ne pensais pas que nous étions si nombreux !
La deuxième impression qui prévaut, ce sont les tonnes de sentiments positifs que Greg éveille chez les autres : bienveillance, admiration, encouragements. Mais pourquoi tant d’amour ?Greg a le contact facile et, sollicité de toutes parts, laisse avec plaisir les fans venir à lui, sans jamais se départir de
Bravo pour cet article qui m’apprend plein de choses sur Grégory C. ! En même temps je n’avais pas vu top chef et n’avait pas vraiment suivi son évolution depuis donc j’ai forcément appris plein de trucs… Sur le plan humain il a l’air d’être un chic type mais finalement il est assez traditionnel sur le plan culinaire je trouve…